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Quel  terme pouvait définir mon travail  hors-piste réunissant des gens et des jardins ?

Il est fait de la conception et de l’aménagement de jardins adaptés dans une démarche participative, de la mise en relation d’un groupe de personnes avec un jardin comme voie d’appropriation du lieu de vie, de la création d’outils et d’espaces ergonomiques, d’animation, de projets artistiques et de l’accompagnement des personnes .

Ergonome de jardin !  Un métier passionnant inspiré par l’humain et sa nature profonde.

Charlotte Dufour

Les protagonistes

Attirée par l’art dans la rue et son caractère collectif, j’aime aussi l’intimité des alcôves où s’éclaire un dessin au crayon gris. Du plus grand au plus petit.

L’aventure commence déjà en choisissant le papier ou le coton comme base.

Les doigts frôlent les éléments retenus. Le support, par couches successives, s’installe et ancre ce qui va suivre. Le trait final est le geste impulsif du fusain ou du crayon.

Le but est de « faire simple Â» dans un monde complexe, de chercher l’essentiel, en partant de la gravité pour aller vers le vertige.

Dans un monde éclairant d’images et de couleurs, je sais qu’il existe aussi une place pour le gris, le pâle, le blanc, la légèreté. C’est pourquoi je travaille des matières éphémères comme le papier, la gouache, le crayon, le fusain, l’encre. Pour les faire durer dans leur fragilité. 

Cloé Marthe

Comédien et lecteur, musicien à ses heures…

Luc Vandermaelen

Au départ, l’équipe du Centre d’écologie urbaine à l’initiative du projet était composée de Swen Oré (éducateur permanent), Sabri Besbes (animateur socio-culturel) et Stephan Kampelmann (chercheur à l’Université libre de Bruxelles). Leur intention était d’ouvrir leurs actions d’écologie urbaine à d’autres publiques : les milieux artistiques et culturels, mais aussi les enfants, les personnes âgées ou à mobilités réduites. La coopération avec la maison de repos Longchamp a permis à ces jeunes écologistes de confronter leur idée d’une ville durable à la perspective de nos aînés. Ces échanges ont profondément changé leur vision du quartier.

L'équipe du CEU

Adeline Louvigny

Derrière l'objectif, c'est là que je me sens le mieux...
Alors lorsque Stephan m'a proposé de participer à ces ateliers de Longchamp en tant que "photographe reporter", je n'ai pas hésité un seul instant.

Biologiste non-pratiquante reconvertie dans le journalisme, j'aime observer et Ã©couter la vie qui coule autour de moi, surtout dans les villes. On y trouve toujours une Humanité forte et créatrice, inspirante et réconfortante.

 
 

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